Des joies (et déjoies) de l homonymie

Ami (é)lecteur,

Te voici sur mon blog. Pour venir ici, tu as pu arriver de différentes facons :

  1. tu as fait une recherche sur un moteur … de recherche. Et tu as cliqué sur un de mes articles référencés sur les moteurs.
  2. tu as une chance incroyable et en tapant des lettres au hasard dans ton navigateur, tu as atterri sur mon blog. A noter: pour arriver sur ce blog, il t’aura fallu une chance sur 26 987 886 572 347 877. Avoue que c’est le moment de tenter un euro millions, non ?
  3. tu as cliqué sur un lien d un autre site internet. Dans ce cas, ou bien tu consultes des sites de ventes de pilules en tout genre et qui spamment les blogs de liens en tout genre. Ou bien tu lisais le site de Marianne et tu as cliqué. Grand bien t’en prenne !

Bon au dela de l homonymie que je partage avec un certain personnage politique, je trouve l expérience amusante. C’est un peu la féérie d Internet. Dans la vraie vie réelle, un journal qui parle de quelqu’un et qui donne son adresse en se trompant de destinataire, ca provoquerait un tollé-raz de marée. Et sur Internet, c’est finalement jamais très grave ce qu on ecrit ou raconte. Ca n’a pas la meme portée parce que ce n est pas gravé sur le papier. C’est juste quelques octets qui se balladent et qui peuvent etre mis a la poubelle en quelques clics.

Donc, si le journaliste de Marianne le souhaite, il peut en un tour de clic changer ce malheureux lien.

Au dela de ce phenomene, j ai décidé de ne rien dire a Marianne et je m’empresse de regarder les statistiques de connexion du site pour voir si les échanges de poopularité dans ce cas de figure, sont générateurs de traffic.

Je ne manquerai pas de vous tenir au courant des statistiques de connexion a partir de cette source.

Longue vie a moi meme (Frédéric Lefebvre)